7 janvier 2020

Mon expérience en tant que stagiaire chez TöK Communications

Voilà, j’y suis. Bien que ce soit ma dernière année de mon baccalauréat en relations publiques, cela signifie avant tout la période des stages. 

À ce propos, à peine huit semaines s’est écoulée depuis mon arrivée chez TöK Communications que déjà, je dois bientôt tirer ma révérence. Je vous propose tout de même un bref survol de mon histoire et de ce que j’ai pu en retirer en tant que stagiaire. 

Mes appréhensions :

Pour plusieurs, les stages de formation signifient l’aboutissement d’un rêve ou, à l’inverse, un cauchemar qui aboutit à une remise en question.

Pour ma part, puisque plusieurs étudiants de la faculté m’avaient tracé un portrait plutôt assommant du travail au sein d’une agence, je partais donc avec une idée préconçue.

Heureusement, l’équipe de TöK m’a prouvé tout le contraire. Immédiatement, j’ai constaté un travail varié et une ambiance conviviale, alors que les dirigeants m’ont accordé leur confiance. Ainsi, à peine vingt-quatre heures après mon arrivée au sein de l’équipe, dans le cadre du lancement d’une nouvelle bière belge sur le marché québécois, Éric et sa brigade m’ont demandé d’œuvrer avec les médias et d’agir activement avec les nombreux invités lors de l’évènement.

Ce que je retiens de mon passage chez TöK, c’est une philosophie de travail fondée sur le développement de soi, l’autonomie, la délégation respectueuse des tâches, la débrouillardise et la prise de décision, bien que pour certains de mes collègues étudiants, dans un contexte d’agence, cela ne semble pas toujours être le cas.

Une journée type 

Habituellement, j’arrive au bureau situé au centre-ville vers 9 h 30 et je quitte un peu après 17 h.

Je commence ma journée en consultant la boite de courriels et la liste des tâches journalières à accomplir, les « To do ». Précisons que les lundis matins sont particulièrement mouvementés. Nous tenons ainsi notre rencontre hebdomadaire avec toute l’équipe et lors d’une table ronde, nous discutons de l’épisode dominical d’Occupation Double.

Au quotidien, les stagiaires sont appelés à rédiger des communiqués de presse, des articles de blogues, à alimenter les réseaux sociaux, à s’occuper des envois médias et à gérer le site web.

Mes apprentissages 

Mon objectif en effectuant ce stage était simple. Je voulais mettre en pratique les connaissances acquises durant mes trois années universitaires et m’assurer de mon choix de carrière.

Rapidement, cela m’a permis de découvrir que la théorie enseignée en classe est bien souvent différente de la réalité associée au marché du travail. Mais peu importe, Éric, Samantha et Rosalie m’ont aidée, encouragée et conseillée. Ils ont su me guider tout en respectant mes attentes et mes interrogations. Je tiens à les remercier.  

Bref, chez TöK Communications, j’ai littéralement appris comment réaliser les tâches reliées à cet univers : du concret, voilà ce que c’était. Quoi demander de mieux pour m’immiscer dans le milieu des communications ?

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